top of page
NeuroArt Connexion a_  la vie.jpg

Honorer le corps après le tumulte : retrouver la tendresse du vivant

Dernière mise à jour : 26 juil.


Zoom sur une plume blanche, la plume pouvant symboliser l'hypersensibilité

Quand on a traversé des événements traumatiques, on parle souvent de ce que le mental a enduré. Du stress chronique, des pensées envahissantes, des flashs, de la dissociation. Mais on oublie trop souvent le corps, ce compagnon silencieux, qui a tout encaissé sans broncher. Parfois, au point qu’on en oublie même qu’il est là.

Or, pour beaucoup de femmes ayant vécu un trauma, le lien au corps est devenu flou, confus, ou douloureux. Ce corps qu'on ne ressent plus, qu’on rejette, ou qu’on perçoit comme un champ de tensions… Ce corps qui ne se repose jamais vraiment. Qui reste en alerte, en protection, même longtemps après la fin du danger.

Dans les suites du trauma, il est fréquent de se sentir « coupée » de son corps. Comme si celui-ci n’était plus un refuge, mais un territoire étranger, trop silencieux ou trop bruyant. Trop absent, ou trop douloureux.

Et pourtant… Le corps, lui, n’a jamais quitté la barque. Il a serré les dents. Il a porté, tenu, compensé. Il a tout traversé. Il mérite qu’on le remercie. Qu’on le borde. Qu’on lui offre, enfin, un peu de paix.



🌿 Le besoin d’une nouvelle forme de présence


Revenir dans son corps ne veut pas dire s’y précipiter. Ni chercher à tout ressentir, tout de suite. Il ne s’agit pas non plus de l’analyser ou de l’optimiser.

Il s’agit d’apprivoiser un nouvel espace : un endroit où l’on peut être simplement là, sans avoir à faire, à réussir, à performer. Un espace où le corps devient un lieu d’habitation douce plutôt qu’un champ de tension ou d’oubli.

Ce processus peut commencer par un souffle. Par une main posée.Par des mots murmurés intérieurement, comme on parlerait à un enfant qu’on aime : « Je suis là… Tu peux te reposer. »



🌙 Une berceuse pour le corps : pourquoi c’est essentiel


Ce nouvel épisode de la série méditative vous propose un moment très court, très simple, mais profondément réparateur : un espace pour se déposer dans le corps avec tendresse, comme on viendrait envelopper un être aimé après une longue traversée.

Il ne s’agit pas ici d’exercer le corps, ni même de le “travailler” d’une quelconque manière. Mais simplement de lui offrir une présence chaleureuse, sans exigence. De lui murmurer à l’intérieur qu’il est enfin temps de se relâcher.

Une berceuse intérieure, murmurée à chaque cellule, pour que le corps aussi puisse entendre :

« Tu n’es plus seule. Tu n’as plus besoin de tenir. Tu peux respirer. »



💛 Ce que vous y trouverez…


Dans cet épisode, vous ne trouverez ni technique sophistiquée, ni respiration guidée compliquée.Seulement des mots doux, des silences, une invitation à honorer votre corps comme on borde un enfant après une nuit agitée.


Un moment simple, intime, pour :

  • Apaiser ce qui est tendu,

  • Rassurer ce qui est encore en veille,

  • Remercier ce corps trop longtemps oublié.

À écouter quand tout est trop.Ou juste pour renouer, doucement, avec cette terre intime qu’est votre corps.

🎧 Le nouvel épisode “Une berceuse pour le corps” est en ligne dès à présent. Quelques minutes de douceur, disponibles dès maintenant sur votre plateforme habituelle.



🙏🏻 En vous souhaitant…


... de pouvoir, un jour après l’autre, vous sentir de nouveau chez vous dans votre corps.

D’y revenir sans crainte, avec la lenteur nécessaire.

Et d’y tisser, pas à pas, une relation faite de paix, de douceur, et d’amour.

🌙



Pour aller plus loin...

📩 Besoin d’un petit coup de pouce pour démarrer ?

Je vous propose également un guide gratuit pour mieux comprendre le traumatisme et amorcer en douceur une reconnexion à vous-même.


🌿 Et si vous avez envie d’un accompagnement plus profond, mes retraites bien-être offrent un espace sécurisant pour explorer, relâcher, respirer… et renouer avec soi. Toutes les infos sont à retrouver ici :

bottom of page